J'ai récemment terminé mon travail en tant que l'un des membres originaux du Conseil de l'Institut du carbone (TCI). Alors que je quitte ce poste pour rejoindre une nouvelle organisation internationale, je voulais laisser quelques réflexions de départ sur le rôle important que le Carbon Institute peut jouer dans la limitation de l'écart de capacité du changement climatique.
Je participe aux processus internationaux de notification et d'examen en vertu de la Convention et du Protocole de Kyoto depuis 2003 à plusieurs titres: en tant que membre du gouvernement américain soumettant l'inventaire national américain des GES, dans le cadre de la Convention-cadre des Nations Unies sur les changements climatiques (UNFCCC) secrétariat soutenant les négociations internationales et coordonnant les équipes internationales d'experts chargés de l'examen, et en tant qu'examinateur des inventaires de GES et des rapports biennaux, et de l'analyse technique des rapports biennaux de mise à jour. L'une des principales observations de l'état actuel du soi-disant régime international de transparence (la communication et l'examen des informations climatiques nationales) est qu'il n'y a pas suffisamment d'experts qualifiés pour soutenir ce processus d'une importance vitale. Les demandes ne feront qu'augmenter dans le cadre de l'Accord de Paris. Je pense que le Carbon Institute fournit une solution viable, évolutive et durable pour aider à répondre à la pénurie actuelle d'experts UTCATF au niveau national et international, et pour nous préparer à la mise en œuvre de l'Accord de Paris.
- Lisa Hanle, membre émérite du conseil
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